Un temps d’attente de trente minutes entre deux RER à Val de Fontenay, gare d’interconnexion avec le RER A, à 18h un soir de semaine, donc en heure de pointe… je ne crois pas que cette nouvelle offre aille dans le sens de l’attente des usagers ni n’encourage les franciliens à utiliser les transports en commun. Et faire attendre ses usagers aussi longtemps sur un quai sous-dimensionné, quasiment dépourvu de mobilier d’assise, et coincé entre deux bras de l’autoroute A86 encombrée à cette heure relève du cynisme pur et du désintérêt de la SNCF pour la santé de ses usagers des ses trains. Une fois encore, la SNCF sacrifie sa fonction de service public au profit d’une logique purement comptable et économique.
Un temps d’attente de trente minutes entre deux RER à Val de Fontenay, gare d’interconnexion avec la RER A, à 18h un soir de semaine, donc en heure de pointe… je ne crois pas que cette nouvelle offre aille dans le sens de l’attente des usagers ni n’encourage les franciliens à utiliser les transports en commun. Une fois encore, la SNCF sacrifie sa fonction de service public au profit d’une logique purement comptable et économique.
Un temps d’attente de trente minutes entre deux RER à Val de Fontenay, gare d’interconnexion avec le RER A, à 18h un soir de semaine, donc en heure de pointe… je ne crois pas que cette nouvelle offre aille dans le sens de l’attente des usagers ni n’encourage les franciliens à utiliser les transports en commun. Et faire attendre ses usagers aussi longtemps sur un quai sous-dimensionné, quasiment dépourvu de mobilier d’assise, et coincé entre deux bras de l’autoroute A86 encombrée à cette heure relève du cynisme pur et du désintérêt de la SNCF pour la santé de ses usagers des ses trains. Une fois encore, la SNCF sacrifie sa fonction de service public au profit d’une logique purement comptable et économique.
Un temps d’attente de trente minutes entre deux RER à Val de Fontenay, gare d’interconnexion avec la RER A, à 18h un soir de semaine, donc en heure de pointe… je ne crois pas que cette nouvelle offre aille dans le sens de l’attente des usagers ni n’encourage les franciliens à utiliser les transports en commun. Une fois encore, la SNCF sacrifie sa fonction de service public au profit d’une logique purement comptable et économique.